Approvisionnement :

Syros est une île auto-suffisante  On y trouve toutes les denrées de bases et des produits frais de qualité. Paradoxalement le poisson est cher et (hélas) souvent congelé. On achète des petits poissons frais et des fruits au marché quotidien d’Hermoupolis dans la ruelle bâchée qui relie le port à la grande place Miaoulis. Dans cette ruelle, aller dans la troisième boutique sur la droite, le «Fauchon» local où l’on trouve tous les produits des Cyclades.

Hermoupolis compte plusieurs supermarchés où l’on peut faire les stocks. Ils se trouvent tous deux route de l’aéroport à partir du fameux rond-point aux palmiers. Le premier («Supermarket Neorion», du nom des chantiers navals) se trouve à droite sur une petite place en renfoncement après la station BP. Le second («Atlantik» !) est un peu plus loin, à gauche, dans un bâtiment néoclassique. Le parking se situe derrière. Il vient de s’ouvrir une autre supérette à Danakos, route de Galissas (en sortant de Kini tourner à droite vers l’hôtel «Captain’s»).

Mais le Kini Market pourvoira à l’essentiel (notamment au pain à acheter avant 10 h ou qu’on peut réserver d’un jour sur l’autre).

Les commerces sont plutôt modernes et bien approvisionnés : y compris fleuristes, cavistes etc. Le marchand de journaux (coincé sur le port d’Hermoupolis entre les terrasses) reçoit toute la presse occidentale.

Restauration :

Dans tous les pays méditerranéens, les repas se prennent tard. On peut même dire qu’il n’y a pas d’heure pour manger. Comme les plats sont presque tous réchauffés on peut s’attabler à la terrasse d’une taverne à n’importe quel moment de la journée… et de la soirée.

À Syros, les tavernes sont nombreuses et relativement bon marché. En dehors de la saison touristique, certaines, notamment dans la campagne, n’ouvrent que le week-end.

Dans la plupart des endroits on peut faire un repas simple et typique (salade, grillade, vin blanc) pour 15 à 20 euros en moyenne par personne.